Collection Échangisme. Mon Tonton M’Entraine Dans Son Monde Libertin (2/3)

Oui, c’est moi Claire, vous vous souvenez hier, la jeune fille allant avoir 18 ans dans deux jours.
Je vous ai quitté car parrain m’ayant trouvé dans une situation compromettante avec Freddy, mon gode qui me masturbait bien enfoncé au fond de ma chatte, mais aussi Freddy mon parrain qui s’enfonçait enfin en moi six ans après.
Six ans où il a fini par faire fortune aux USA certainement avec sa queue lorsqu’il a baisé une vieille Américaine au Texas.
Quelques mois plus tard, elle rendait son dernier soupir lui laissant toute sa fortune.
Une veuve sans , alors qu’en France il avait refusé une jeune femme, certes un peu laide dans une histoire de fric familial.
Je devrais vous quitter à peine retrouvé, car la queue bien chaude qui est au fond de moi commence à m’envoyer vers ce que certains appellent le septième ciel.
Il est vrai qu’avec Freddy, mon gode, j’atteins le deuxième au mieux le troisième niveau, lorsqu’il me retourne et me place en levrette, c’est là que je monte au septième certes.
Soyons folle plus surement le neuvième ou le dixième.
Mon étalon est une vraie bête de sexe.
Je m’écroule sur mon lit, après avoir fait entendre à tous, hélas, absent, la chienne que je suis devenue.

• Merci Claire, dès mon retour lorsque je t’ai vue, j’ai été illuminé par ta beauté.
Je te jure, que lorsque je suis rentré un peu rapidement dans ta chambre comme je le faisais avant mon départ j’étais loin de penser que nous ferions l’amour.
• Le regrettes-tu ?
• Pas le moindre du monde, même si je dois t’annoncer que je pars dans quatre jours pour l’Afrique du Sud.
Je vais visiter l’Afrique comme j’ai visité les Amériques.
• Ça, j’avais compris, lorsque tu es arrivé et que tu as dit à mes parents que c’était pour quelques jours, que tu allais bientôt repartir.
• Si je te disais c’est que c’est pour toi que je suis passé par ici.
• Mais tu avais quitté une petite laideron sans savoir que la nature avait fait de moi le joli signe même noir que la nature a fait de moi.


• Oui, mais c’est ma filleule que je voulais voir pour rattr les anniversaires que mon éloignement m’avait fait oublier.
Je pensais venir te faire un cadeau en allant avec toi choisir ta voiture, dans la concession qui te plaira.
Tes parents sont des bourges immangeables, mais ils t’ont fait passer ton permis par conduite en accompagnement.
Tu pourras la conduire, seule, dans deux jours.
• Merci Tonton Freddy, tu me rends doublement heureuse.
• Tu veux toujours faire l’école de la magistrature maintenant que tu as ton bac avec mention très bien, comme tu me le disais dans une des rares lettres que j’ai reçues.
• Oui, Freddy.
• Tu m’as indirectement offert ta vertu puisque ma queue est la première qui est réellement entrée en toi.
Après avoir été choisir ta voiture, si ce soir tu fais ce que je vais te demander, nous irons courir les agences immobilières pour que je t’achète un appartement.
• Tu veux faire de moi ta régulière et tu t’offres une garçonnière comme tu m’as appris que papa en avait une.
• Faire de toi ma régulière alors que le monde regorge de chatte à baiser et ceci dès lundi, oh ! que non, pour que je t’achète cet appartement il y a un « mais ».
• Lequel ?
• Ce soir tu dis à tes parents que leur repas avec Antonio ils peuvent se le carrer au cul, comme moi je l’ai fait pour mon plus grand bonheur, il y a presque sept ans.
Tu leur ajouteras qu’à ce même moment tu seras avec ton parrain qui t’a invitée pour une fois qu’il est en France au restaurant pour tes dix-huit ans.
Si tu me suis sans me poser de question samedi, tu en auras les clefs et tu pourras commencer ta vie.
• Elle est bien commencée Tonton grâce à toi, compte sur moi.

Je recommence à le masturber comme si de rien et c’est ma bouche qui termine le travail.
Le soir, le repas arrive, je reprends mon souffle et d’un coup je me lance.

• Père, me permettez-vous de vous poser une question ?
• Tu peux Claire, ici la parole est libre.

• C’est très bien, vous avez hérité des terres de grand-mère dans le Gers, qu’avez-vous l’intention d’en faire ?
• Ce qu’avec ta mère on a l’intention d’en faire, nous le gardons pour nous.
• Hélas, ma grand-mère m’a couché sur son testament et une partie m’en revient.
• Alors, tu signeras quand nous vendrons.
• Ou mon mari si je suis mariée, je vois votre jeu, j’ai su que le repas aura lieu en présence des Durant et de leur fils Antonio cet affreux puceau.
Votre repas, vous pouvez vous le carrer au cul.
• Quel langage ma fille est-ce comme ça que nous t’avons élevée avec ta mère, que sont ces mots orduriers dans ta bouche.

Je vois Freddy jouer avec les clefs de sa moto, comme si elles étaient là pour me soutenir et me donner de la force pour dire leurs vérités à mes parents.

• Ce sont les mots de la vraie vive, pas celle que vous vivez avec maman en vous trompant mutuellement.
• De quoi parles-tu ma fille, tu deviens folle.
• Est-ce folie que de parler de ta garçonnière ou tu emmènes Sylvie, ta secrétaire pour la baiser !

Freddy semble apprécier, les clefs dans sa main se balancent de plus en plus vite.

• Freddy arrête avec ces clefs, Claire ton père à raison modère tes propos !
Depuis qu’on se connaît, ton père et moi nous sommes toujours d’une parfaite loyauté entre nous, s’il me trompait je le saurais !
• Quelle mauvaise fois, toi aussi tu baises ailleurs, ton proviseur, c’est sur son bureau que tu écartes tes cuisses pour qu’il te pénètre chaque fois que vous êtes seule.
Je vous laisse, samedi, c’est avec parrain que je fêterai mes dix-huit ans avant son départ.

Je me lève et retourne dans ma chambre.
Lorsque j’entends gratter à ma porte, je suis nue sur mon lit.
Ce lit qui aurait dû être de jeune fille, mais qui grâce à l’achat de Freddy, mon gode a été rapidement un endroit de plaisir.
C’est lors de la mort de ma grand-mère, lorsque nous avons vidé les quelques meubles qu’ils avaient accumulés avec mon grand-père, qu’ayant la place dans ma chambre j’ai récupéré la leur avec un grand lit.

Il entre une nouvelle fois sans frapper, pourquoi se gênerait-il, je suis déjà toute à lui.
Un simple boxer couvre son intimité me permettant de voir sa musculature aux plaquettes bien dessinées et la bosse que dès qu’il me prend dans ces bras commence à vouloir s’échapper.
Du boxer, pas de ma main qui le masturbe comme je l’ai fait dans la matinée.
Nos bouches s’étreignent, nos corps sont fous d’envie l’un de l’autre.
Qu’importe, Tonton, mon parrain ou Freddy.
Seule compte l’envie que nous avons l’un de l’autre surtout après mon exploit lors du repas.
Freddy voulait que je tienne tête à mon père, les regards de connivence entre nous m’ont aidé à me surpasser.
Surpassée, je me surpasse quand après ce baiser interminable, mais dans le bon sens du mot, mon corps lui appartient.
C’est grâce à sa bouche qui enferme mes cris d’amour lorsque mon orgasme éclate, qu’elle empêche mes parents d’entendre que leur fille baise sans aucun tabou.

• Ma chérie, l’élève a dépassé le maître.
Déballer à tes parents, l’intégralité de leurs turpitudes comme tu l’as fait démontre la totalité des frustrations qui étaient cachées au fond de toi.
Je me suis délecté de voir ces faux culs ravaler leurs frustrations et de découvrir eux-mêmes les petites gens qu’ils sont.
• Lorsque je te regardais, c’est toi qui m’en as donné la force, il était impensable que je te déçoive.
Il me semble impossible que tu dépendes d’eux dans un futur proche surtout financièrement dès que je serai parti.
• Parrain reste avec moi, je serai une petite souris qui saura rester dans son coin.
• C’est cela que j’ai fui lorsque je suis parti, le conformisme et inconsciemment nous y tomberons.
Dans moins de deux jours, je vais te faire connaître un monde que je veux que tu intègres.
Je me rends compte qu’il faut que j’en fasse un petit peu plus pour toi.
• Mais tu en fais déjà tellement pour moi depuis ton retour.

• Pas assez, il te faut avoir de la latitude financière dans l’appartement que nous allons aller acquérir ensemble dans la journée de demain, pendant le temps où tu finis tes études.
Aux USA la fortune que ma femme m’a laissé me permet de continuer mon tour du monde, qui était mon rêve dans ma jeunesse.
Je possède des terres pétrolifères me rapportant assez chaque jour pour que je crée un bureau fictif ici dont tu seras officiellement la secrétaire.
Chaque mois, tu recevras sur ton compte 10 000 € net d’impôts, tout sera payé légalement.
• Je conçois que tu veuilles continuer ton rêve de jeunesse, ainsi chaque mois quand je regarderai mon compte, je penserai à toi.
Je serai un peu ta petite pute qui se fait entretenir à distance.
• Mais une tellement jolie petite pute, mademoiselle, je vous paye alors, sucez-moi.

Je le suce, il me fait l’amour jusqu’au matin.
Lorsque nous descendons, mes parents sont partis rejoindre leur vie de mensonge.
Comment c’est passé leur nuit, j’allais dire Dieu seul le sait ?
Je monte sur sa moto première fois là encore de ma vie.
Le garage, je choisis une mini Cooper rouge, j’adore le rouge et moi aussi j’ai toujours rêvé d’en posséder une.
L’appartement, c’est facile, au dernier étage d’un immeuble dans le centre-ville tous près des lieux de plaisir nocturne.
Sa particularité, une immense terrasse qui me permettra de bronzer nue et de recevoir les amis que Freddy doit me présenter samedi.

• Choisi, la tenue sexy pour ton intronisation dans ta nouvelle vie que tu vas débuter samedi Claire...

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